#Simon Trottier
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Martyrs (2008) Ein kleines Mädchen wird von den französischen Behörden aufgegriffen - lethargisch, halbnackt und verwundet streift sie durch die Straßen Frankreichs. Sie erfahren, dass sie eben ihren Peinigern entkommen ist, die sie über Jahre hinweg gefangen gehalten und gefoltert haben. Auch in dem Waisenheim, in dem sie untergebracht wird, entkommt sie ihrem Trauma in Form eines entstalteten Dämons nicht.
Der Dämon verfolgt sie bis ins Erwachsenenalter. Dem Wahnsinn verfallen findet sie ihre ehemaligen Peiniger aus, die ein friedliches und ungestörtes Familienleben in einem schönen Haus führen. Mit einer Schrotflinte bewaffnet löscht sie jedes einzelne der vier Familienmitglieder aus. Mit den blutigen Überresten ihrer Opfer beschmutzt ruft sie ihre Freundin an, die ihr anschließend beim Entfernen der Leichen hilft. Ihnen ist jedoch nicht bewusst, dass die Tat nicht unbeobachtet geblieben ist und die Peiniger zurückschlagen. (10/10)
#martyrs#2008#Morjana Alaoui#Mylène Jampanoï#Juliette Gosselin#Xavier Dolan#Anie Pascale#Catherine Bégin#Seppuku Paradigm#Richard Grandpierre#Simon Trottier#Horrorfilm#Gore#Pascal Laugier
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Timber Timbre - Black Water
#Timber Timbre#Black Water#Musique#Taylor Kirk#Mika Posen#Simon Trottier#Colin Stetson#Katherine Peacock#Mathieu Charbonneau#Creep On Creepin' On#2011#Folk#Blues
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The Great Escape by Patrick Watson from the album Close to Paradise - Animation by Kathleen Weldon and Alex Produkt
#music#patrick watson#simon angell#mishka stein#jean nicolas trottier#robbie kuster#jasmin fréchette#geneviève bouffard#louis pierre bergeron#phillipe legault#marjolaine lambert#anne marie leblanc#marilou robitaille#john corban#music video#animation#kathleen weldon#alex produkt#jasmin frechette#genevieve bouffard#video
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And, oh yeah! Simon exists! :)
Naturally, he rolled up a date want, so he opted for a second date with Emmy Grundstrom, since their first one went so well and he hasn’t slept with her yet. Still, at first he seemed a bit preoccupied:
Simon, do try to remember which person you’re dating... Simon: Sorry. It’s just so hard to keep them all straight sometimes...
But eventually he got with the program:
And then this happened:
Geez, way to give me a stroke, Simon. Simon: But I thought that you were all-knowing, all-seeing, etc. Didn’t you see this coming? Shut up.
Anyway! I guess since he’s getting up there, Simon’s finally listening to my threats about what’ll happen if he doesn’t procreate finally decided to settle down. And I was kinda kidding in that post about it being funny if there turned out to be two Emmy GilsCarbos, but...Well, it is funny. So let’s strike while this iron’s hot:
Big sister Gwen seems happy, too. Or maybe she’s happy ‘cuz she just got shagged. It’s always hard to tell with her...
Annnnnnd apparently Simon still wants Asia even though he just got engaged and she’s got at least one foot in the grave. But, that ship has sailed, dear. So, you’ll just have to settle for some woohoo.
Now that’s what I call an orgasm. :)
#sims 2#ts2 pictures#gilscarburg#simon gilscarbo#emmy grundstrom#gwendolyn gilscarbo#arcadia mace#asia trottier#mark london
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#RVQC : JE FINIRAI EN PRISON d’Alexandre Dostie
Présenté ce lundi soir aux Rendez-vous Québec Cinéma à 21 h 30 à la Cinémathèque québécoise dans le cadre du programme « Châtiment » (et finaliste au Gala Prends ça court! qui aura lieu ce mardi 3 mars à 19 h, toujours à la Cinémathèque), Je finirai en prison est mon court métrage québécois pr��féré de la dernière année. Le jury dont je faisais partie à SPASM lui a d’ailleurs remis le Prix de la Meilleure direction photo (Vincent Biron). Il faut aussi souligner les performances hallucinantes de Martine Francke et Émile Schneider, la musique de Simon Trottier, le montage de Stéphane Lafleur, et bien sûr la mise en scène intense et viscérale d’Alexandre Dostie (Mutants). V’là un scénariste et réalisateur qui est en train de créer un vrai univers de cinéma. En 23 minutes, il raconte une captivante histoire en trois actes, avec des personnages bien dessinés, des dialogues truculents et une fascinante peinture de milieu. C’est davantage que la majorité des longs métrages.
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Un nouvel article a été publié sur http://www.rollingstone.fr/timber-timbre-entre-ombre-et-lumiere/
Timber Timbre, entre ombre et lumière
Trois ans après Hot Dreams, les Québécois de Timber Timbre sont de retour avec le clair-obscur Sincerely, Future Pollution
https://youtu.be/1h5ePI_cvHk
Après un premier single chargé en synthétiseurs, Taylor Kirk, Mathieu Charbonneau et Simon Trottier sont de retour avec un quatrième album cru, Sincerely, Future Pollution. Surprenamment cinématographique, cet industrieux opus Lynchien a quelque chose d’une bobine de film exposée trop tôt à une réalité trop sombre. Véritable plongée dans les tréfonds d’une société emprunte d’une folie toute aussi douce que terrifiante, cette incantation folk ne peut qu’enchanter.
Bien que Taylor Kirk ait tenu a préciser qu’une œuvre aussi pessimiste n’était en rien un poing levé au nez et à la perruque d’un certain président américain, on ne peut que voir en Sincerely, Future Pollution un pur produit du chaos que fut 2016. « Lorsque nous enregistrions, nous supposions qu’il s’agissait d’un canular très élaboré, mais le fait que notre système de pouvoir soit à ce point tourné en ridicule a engendré des idées noires, dystopiques. Les égouts ont débordés. »
Enfant terrible de Lou Reed, Timber Timbre s’aventure sur une certaine Blackstar avec « Grifting », avant de plaquer des accords électrisants le temps d’un « Moment ». Pépite charbonneuse, le lumineux « Sewer Blues » éclaire quant à lui cet album d’une délicieuse obscurité. Ballade Blade Runnerienne, « Western Questions » est le parfait exemple de la tonalité cinématographique qu’on voulu donner les trois Montréalais à ce quatrième opus. Point final d’un concept album d’un nouveau genre, « Floating Cathedral » n’est pas s’en rappeler « And I Love Her », composé en 1964 par Quatre Garçons dans le Vent. Sample hommage ou emprunt involontaire, qui sait ?
Vous pourrez également retrouver Timber Timbre sur scène le 17 avril au Grand Mix de Tourcoing, le 19 à La Cigale et au Printemps de Bourges le 20.
Par Jessica Saval
#city slang#la cigale#Mathieu Charbonneau#montréal#printemps de bourges#sewer blues#Simon Trottier#sincerely future pollution#Taylor Kirk#timber timbre
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Deadline looming for Montreal owners of pit bull-type dogs to obtain special permit Owners of pit bull-type dogs have until March 31 to apply for a special permit.
#human relationships#human--relationships.com#blog posts#community#news#activity#Montreal politics#Lyne Groulx#Montreal Pit Bull Bylaw#Philippe Sabourin#Pit Bull Bylaw#pit bull-type dog#Simon Trottier
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Épisode abordant le thème de la langue, avec notre invitée: Catherine Dorion.
Ge, tu, elles: L’édito de Geneviève: « Mordre ou mordue, la langue ».
Les nouvelles régionales: La région administrative de la Capitale-Nationale est à l’honneur.
De la ben belle visite: La députée-poète Catherine Dorion.
Le plus jeune commence: Paul-Antoine anime un quiz sur la relation amour-haine entre l’anglais et le français.
Programme de soutien aux finissants en sciences humaines profil individu: Francis s’intéresse à la santé et sécurité au parlement. Avec la généreuse participation de Luc Sincennes.
Quand pensez-vous?: Est-ce que le français est vraiment en danger?
Musique: « Viens avec moi » des Hôtesses d’Hilaire, un coup de coeur pour Francis.
Wikipéha: La grande (longue!) histoire des législations entourant la langue française.
9 à 3: L’oreille absolue, un phénomène particulier et fascinant, avec Justin Fournier et Isabelle Trottier.
Correspondance: Alexianne et son journal intime, en attendant celui de Catherine Dorion, peut-être?
Cochonneries: « Quand » ou « Qu’en » pensez-vous?
Enregistré le 23 juillet 2019 devant public à La Microbrasserie le Prospecteur de Val-d'Or, dans le cadre de la 15e édition du FRIMAT.
Merci à nos partenaires!
• Paysage Boréal, dépositaire des produits Bolduc, présentateur de cet épisode! • La Société St-Jean-Baptiste de l'Abitibi-Témiscamingue • Air Creebec • La Microbrasserie Le Prospecteur • Le FRIMAT • Québec Studio • Adama Productions • Pier-Luc Beaudet Duciaume, Planificateur financier pour IG Gestion de Patrimoine • L'Hôtel Continental centre-ville • Avantage numérique • Honda de Val-d'Or • Marie-Claude Robert photographe • Studio Lachapelle
Animation: Francis Murphy, Geneviève Béland et Paul-Antoine Martel; Narration: Yolette Lévy; Image sonore: Bernard Boulanger et Le Carabine; Technique: François Lachapelle; Régie: Stéphanie Poitras et Sophie de Carufel; Recherche, billetterie et accueil: Karine Murphy.
Extraits musicaux entendus:
Les Jeux du Québec (Chanson thème) © Sports Québec
Didgeridoo, Qualité Motel feat. Simon Proulx C’est pas la qualité qui compte © 2018 Qualité Motel
Écoute Chérie, Vendredi sur Mer Premiers émois © 2019 Profil de Face
La hiérarchill, Jérôme 50 (Remix QPV) La hiérarchill © 2018 Dare to Care Records Inc.
Le souverain, Tomàs Jensen Pied-de-nez © 2002
Instant zéro, Laurence-Anne Première apparition © 2019 Laurence-Anne
A Heartbeat Away, Jean-Michel Blais Dans ma main © 2019 9366-3870 Québec Inc sous licence exclusive à Arts & Crafts Productions Inc.
Le levain, Jean-Martin Aussant feat. Jacques Parizeau © Jean-Martin Aussant
All in the Bus, Les Hôtesses d’Hilaire Viens avec moi © 2018 Les Hôtesses d’Hilaire
Pousser MA note, Les Hôtesses d’Hilaire feat. Les Hay babies & Robin-Joël Cool Viens avec moi (Live) © 2019 B-12
C’est dans les chansons, Jean Lapointe 15 ans d’émotions en 21 chansons © 1991 Éditorial Avenue
Gobbledigook, Sigur Rós Með Suð Í Eyrum Við Spilum Endalaust © 2008 Krunk
De pluie et de cendres, Guillaume Beauregard D’étoiles, de pluie et de cendres © 2014 La Tribu
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"Alec Ryder grew up around the Sierra Nevadas in the 2120s" BioWare says but I a certified canadian says that alec ryder grew up in vancouver to 2nd generation filipino canadian parents and his mom soledad was doing post grad at simon fraser university when he was growing up and alec always loved going to the Trottier observatory as a kid :^)
the mountains mentioned in his bio are actually the sierra madre which can be seen in the Ryder family's ancestral home in malolos where he often spent summers in :^)
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Timber Timbre - Sewer Blues
Sewer Blues is from the album "Sincerely, Future Pollution" out April 7th 2017 on the City Slang and Arts & Crafts labels. This video was directed by Karl Lemieux.
Timber Timbre are a Canadian music group, featuring Taylor Kirk Vocals and Guitar), Simon Trottier (Guitar), Mathieu Charbonneau (Keyboards) and Olivier Fairfield (Drums). The moniker refers to an early series of recordings made in a timber-framed cabin set in the wooded outskirts of Bobcaygeon, Ontario.
#Timber Timbre#Sewer Blues#Canada#new video#new music#indie#indie rock#rock#indie pop#pop#folk#Rebjukebox
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Timber Timbre - Sincerely, Future Pollution
#Timber Timbre#Sincerely Future Pollution#Musique#2017#psychedelic folk#Taylor Kirk#Simon Trottier#Mathieu Charbonneau#Mike Wheaton#Folk Rock
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Sincerely, Future Pollution by Timber Timbre from the album Sincerely, Future Pollution - Directed, animated and produced by Joël Vaudreuil
#music#timber timbre#alternative#rock#alternative rock#taylor kirk#simon trottier#mathieu charbonneau#olivier fairfield#folk#video#music video#joël vaudreuil#joel vaudreuil
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Later, Asia barged in, and Simon wanted to pull a prank on someone, so since she’s currently pissed at him (again), anyway...
Why not make her more pissed, right? Seems like a good plan.
Cherry: OH HAI, GUISE!
And then Simon bawled. Like he was shocked at her response or something. What a drama queen...
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Flash-back 2011: FUNKYTOWN de Daniel Roby
Photo : Valérie Jodoin-Keaton
Cette semaine marque le 10e anniversaire de la une du Voir consacrée à Funkytown, publiée une semaine avant sa sortie en salle le 28 janvier 2011. J’avais eu la chance d’interviewer Patrick Huard, Daniel Roby et Steve Galluccio à cette occasion.
Note : si vous souhaitez voir ou revoir Funkytown, il est disponible en location sur iTunes et il sera diffusé à Cinépop le vendredi 29 janvier à 11h30.
Sexe, drogues et boules en miroir
Écrit par Steve Galluccio, réalisé par Daniel Roby et mettant en vedette Patrick Huard, Funkytown nous fait revivre la fièvre du disco dans le Montréal des années 1970.
En cette ère où l’on aime que nos vedettes soient humbles, près des gens et irréprochables, on imaginerait mal une de nos stars, Patrick Huard par exemple, s’arrêter devant le club le plus couru en ville au volant d’une grosse décapotable rouge, passer devant tout le monde qui attend en file, puis courir les jupons et faire de la poudre toute la nuit avec une attitude du type: "Fuck you! Je suis le king du disco, je peux faire ce que je veux!"
Dans les années 1970, par contre, la démesure et l’arrogance semblaient de mise, du moins pour les personnages comme Bastien Lavallée, le populaire animateur de radio et de télé qu’interprète Huard dans Funkytown. "C’était le début du stardom à l’américaine au Québec, avec tout le côté tacky de la bébelle, estime le comédien. Et les gars comme Alain Montpetit [ndlr: dont le personnage de Bastien est librement inspiré] ont été les premiers à l’assumer, à avoir des gros chars et des lunettes fumées et à jouer la game."
"Oui, poursuit Huard, il y avait quelque chose de défoulant à jouer ça, mais en même temps, fallait pas trop en mettre, fallait que ça ait l’air naturel. Le type d’animation que ces gars-là faisaient, par exemple, il n’y a plus personne qui anime comme ça aujourd’hui. J’arrivais à imiter Alain Montpetit pas mal proche, mais le problème qu’on avait, c’est que c’est tellement loin de ce qu’on fait aujourd’hui que ça avait l’air d’un sketch de RBO! Fallait donc que je diminue ça, tout en gardant quand même un feeling de ces années-là."
D’abord un euphorique party quasi ininterrompu, l’existence de Bastien glisse tôt ou tard vers le tragique, alors que sa vie familiale s’effondre et que sa consommation de drogues devient incontrôlable. "D’habitude, quand un personnage dérape comme ça dans un film, on va essayer de le justifier par son enfance, par quelque chose qui lui est arrivé, etc. Dans le cas de Bastien, ce n’est pas ça pantoute. Il a pris le mauvais virage, c’est aussi simple que ça; il a essayé de piloter un bolide bien trop rapide pour ses capacités. Il n’y a pas d’autre raison fondamentale à sa chute que son ego qui n’était pas "focussé" sur les bonnes affaires. Il était concentré sur le fait d’être une star, de faire du cash… Mais pendant que tu penses à ça, tu n’es pas le père, le mari et l’artiste que tu devrais être."
Oeuvrant comme réalisateur depuis quelques années (Les 3 p’tits cochons, Filière 13, la série Taxi 0-22), Huard a par ailleurs apprécié de redevenir simple acteur pour ce film: "C’est fou comme je me laisse diriger plus facilement depuis que je réalise, parce que je le sais que le réal’, il a une vision dans sa tête, puis ton job comme acteur, c’est d’essayer de la livrer. Tout le monde pense que j’aurais peut-être tendance à vouloir en mener large sur le plateau, mais c’est le contraire: depuis que je réalise, je me mêle plus de mes affaires qu’avant!"
Les derniers jours du disco
C’est à la suite d’une discussion avec le vétéran animateur Guy Aubry, en 2003, que le producteur exécutif Simon Trottier a eu l’idée de faire un film sur la période disco à Montréal. Après trois années à éplucher les journaux et magazines de l’époque, à consulter des documents d’archives et à interviewer divers intervenants, dont Yvon Lafrance, propriétaire du mythique Limelight (une discothèque montréalaise qui a ouvert ses portes en 1973, soit quatre ans avant le Studio 54!), Trottier a convaincu Maxime Rémillard de Remstar d’embarquer dans le projet, suggérant au passage que Steve Galluccio (Mambo Italiano, Surviving My Mother) et Daniel Roby (La peau blanche) seraient les candidats idéaux pour respectivement scénariser et réaliser Funkytown.
"De prime abord, un film sur le disco, ça ne me disait pas grand-chose, admet Roby. Mais en consultant le dossier de recherche de Simon, j’ai découvert tout un univers qui a existé pendant quatre, cinq ans à Montréal, ainsi que des drames que je ne soupçonnais pas. Il y a eu une espèce de bulle d’effervescence à Montréal dans les années 1970, puis une espèce de crash monumental au début des années 1980, et je me suis dit qu’il y avait forcément des histoires à raconter là-dedans."
S’inspirant de films choraux tels que Boogie Nights et Magnolia de Paul Thomas Anderson, Galluccio a voulu raconter une foule de ces histoires parallèlement dans son scénario: "Dans mes autres scénarios, il y avait aussi beaucoup de personnages, mais il n’y avait qu’une seule trame dramatique, alors que dans Funkytown, il y en a vraiment plusieurs. Ça a été un grand défi pour moi, tout comme le fait que ce ne soit pas une comédie. J’ai écrit beaucoup de comédies pour le cinéma, la télé et le théâtre, et je voulais prouver que je pouvais écrire autre chose."
Mêlant réalité et fiction, le scénario de Galluccio aspire avant tout à capter la frénésie de l’époque, qu’a vécue l’auteur alors qu’il était adolescent. "Dans tous les partys où on allait, c’était le disco qui trônait, se rappelle-t-il. Et ce qui m’a toujours fasciné, c’est qu’un jour, le disco n’était soudainement plus à la mode, c’était: "disco sucks", il ne fallait même plus prononcer ce mot-là!"
Ayant à leur disposition un budget de 8 millions $, ce qui n’est pas négligeable au Québec, les artisans du film ont tout de même dû faire des miracles pour transposer à l’écran le récit imaginé par Galluccio, comme l’explique Roby: "Funkytown, c’est ambitieux sur plusieurs fronts: la reconstitution d’époque, les costumes, les décors, la musique dont il fallait acheter les droits, le grand nombre de comédiens et de figurants nécessaire… Alors c’est sûr qu’au final, il a quand même fallu faire des compromis et resserrer le scénario de Steve."
Casting bilingue
Pour le casting du film, le cinéaste s’est tourné vers des valeurs sûres pour certains rôles, mais a dû chercher plus loin pour d’autres. "On a fait beaucoup d’auditions à Montréal, puis à Toronto et à Vancouver, et finalement à Los Angeles", résume Roby, qui a ainsi déniché Justin Chatwin et Sarah Mutch, deux acteurs canadiens-anglais faisant carrière aux États-Unis. "Pour le personnage de Jonathan, qui est fortement inspiré de Douglas Leopold, un jet-setter anglophone qui travaillait dans les médias francophones, trouver un acteur capable de faire ça n’était pas évident. Mais Paul Doucet est arrivé en audition et c’était déjà exceptionnel, il n’arrêtait pas d’improviser, il prenait toute la place, le côté excentrique du personnage lui venait naturellement et c’était drôle, touchant, attachant… C’était une révélation, surtout qu’on est habitué de voir Paul dans des rôles bien straight!"
La distribution inclut aussi Raymond Bouchard, Geneviève Brouillette, François Létourneau, Sophie Cadieux et, bien sûr, Patrick Huard. "Il s’imposait pour le rôle de Bastien, un gars de 40 ans, charismatique, bilingue… Puis il fait des choses dans le film qui ne sont pas nécessairement faciles à accepter pour le spectateur, alors ça prenait un acteur qui a un capital de sympathie assez fort pour qu’on ne juge pas trop le personnage", conclut Roby.
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Ludovic Alarie – “We Don’t Exist”
Ludovic Alarie – “We Don’t Exist”
Ludovic Alarie is back with “We Don’t Exist,” another new single from his forthcoming album. The Montreal musician’s December release, “We’re a dream nobody wrote down,” was his first single written in English. Much like that track, this dreamy composition was recorded with Blonde Redhead’s Simone Pace, plus Warren C. Spicer, Adèle Trottier-Rivard, and Mishka Stein.
“We Don’t Exist” tackles a…
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Building Communities at SFU
Simon Fraser University is committed to community engagement, so much so that its campus master plan and infrastructure is focused on building communities, in Vancouver, Surrey, and on Burnaby Mountain. SFU is literally setting its vision in stone!
Last week 10K looked at how SFU’s Engagement Strategy has been socialized across the institution, reinforcing efforts at community-based research, cultural engagement, public events and even April Fool’s videos. (ICYMI, check out “Embracing Engagement at SFU” - https://youtu.be/EGWvfBqJEGs ).
In this episode, we look at SFU’s “concrete” commitment to engagement, manifested in its campus infrastructure:
Science Plaza
Although SFU has no Astronomy department, it has constructed the Trottier Observatory on its Burnaby Mountain campus. Several times a month, hundreds of people from the community gather for “Starry Nights” stargazing, and the Science Courtyard incorporates architectural elements to convey a love for science. Ken speaks with Howard Trottier, SFU Physics professor, and founder of the Starry Nights program.
SFU Surrey
SFU opened a major campus in suburban Surrey’s city centre, which is driving the development of a major metropolitan centre from scratch. The main building, designed by Bing Thom, brings together a university, a shopping centre, and an office tower in a mixed-use concept sometimes called “Vancouverism” – and that mixed-use concept is a good metaphor for SFU’s vision of the “Engaged University.” Ken speaks with SFU president Andrew Petter, and VP External Joanne Curry, who for 12 years led the development of the Surrey campus.
Downtown Vancouver
SFU also has the largest presence in downtown Vancouver, including the Segal Graduate School of Business, the RADIUS social innovation incubator, the Harbour Centre, and the Centre for Dialogue. Ken speaks with Shauna Sylvester, the director of the Centre for Dialogue, about the beautiful purpose-built facility and its unique Asia-Pacific Hall.
SFU Woodsworth’s
In the heart of Vancouver’s downtown eastside, SFU constructed a new School for Contemporary Arts in a former landmark, Woodsworth’s Department Store. The development was a vision of Michael Stevenson, former SFU president, to revitalize a troubled region of social and political tension, and built community relationships through music, culture and the arts. Ken speaks with Howard Jang, then the director of the SFU Woodsworth’s Cultural Unit, and Am Johal, the director of SFU’s VanCity Office of Community Engagement.
SFU UniverCity
The most remarkable example of SFU’s community-building is the 65-acre UniverCity development atop Burnaby Mountain, adjacent to its main campus. While the university had a land grant over much of the mountain, they asked the municipality to compress the density of that land grant to a much smaller area. The result is a small town that will ultimately be home to 10,000 people, and some of the world’s most sustainable architecture and community infrastructure. Ken speaks with Gordon Harris, CEO of the SFU Community Trust, which manages the UniverCity development.
10K will revisit SFU’s UniverCity project, the RADIUS incubator, the Science Plaza, the Centre for Dialogue and more in future episodes. To be sure you don’t miss them, please take a moment now to subscribe! http://eduvation.ca/subscribe/
And stay tuned for some bloopers at the end of this episode!
Check out this episode of Ten with Ken!
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